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TitanHQ reconnue comme l’une des meilleures compagnies pour la cybersécurité en Irlande

2021 a été une année terriblement riche en cyber-attaques : les statisticiens comme le Identity Theft Resource Center (ITRC) ont affirmé que le record, réalisé en 2020, était déjà battu par l’année 2021. L’ITRC a déclaré que les attaques pirates de la chaîne d’approvisionnement ont connu une hausse de 42% durant le premier trimestre de 2021, les attaques par rançongiciel une fréquence jamais observée auparavant, et une menace grandissante des attaques par hameçonnage. Ce n’est pas seulement le nombre des fuites de données qui est inquiétant, c’est surtout leur ampleur.

2021 a vu des cyber-attaques de haut vol, notamment celle de Colonial Pipeline aux États-Unis, qui a privé toute la côte ouest du pays pendant une semaine, ainsi qu’une attaque au rançongiciel du département de santé « Irish Department of Health » en mai 2021, qui a révélé une fuite des données et de sérieux troubles dans les services médicaux.

Les attaques sur les infrastructures essentielles ont un impact dévastateur sur le monde du travail, les compagnies pouvant subir des pertes catastrophiques. Au vu du niveau de la menace actuelle et de la fréquence des rapports de vols de données, on peut dire qu’il est aujourd’hui plus nécessaire que jamais d’investir dans la cybersécurité.

Après avoir essuyé des cyber-attaques dévastatrices, l’Irlande a fait de la cybersécurité une priorité nationale ; ces attaques ont permis de faire passer le message aux compagnies irlandaises, insistant sur le fait qu’elles ont besoin de renforcer leurs cyberdéfenses pour garder les pirates à distance.

L’organisation irlandaise « ThinkBusiness » a récemment permis aux entreprises une prise de conscience sur le risque des cyber-attaques et propose de les aider à trouver la meilleure solution selon leur profil, mettant en lumière l’excellent travail mené par les compagnies spécialisées en cybersécurité, dont la plupart sont basées en Irlande. Le pays regorge en effet de talents remarquables en la matière : des conseillers, des experts en sécurité, et des compagnies proposant les dernières solutions à la pointe de la cyber-technologie capables de protéger les entreprises et leurs données à travers le monde entier.

Pour aider les entreprises irlandaises à trouver la solution en cyber-sécurité idéale selon leurs besoins, ThinkBusiness a récemment établi une liste des 26 meilleures compagnies à suivre en 2021 et dans l’avenir, avec une étude soulignant la vaste gamme des offres qu’elles développent, si innovantes qu’elles impriment déjà leur marque à l’échelle internationale.

Cette liste inclut TitanHQ, une compagnie basée dans la ville irlandaise de Galway, qui a développé des protocoles de cyber-sécurité durant 25 ans. Elle a été récompensée pour ses offres en matière de sécurité des emails, de sécurité internet, et d’archivage des emails permettent aujourd’hui à plus de 12 000 entreprises, à travers 150 pays, grâce à plus de 2 500 fournisseurs de services formés par TitanHQ, de protéger leurs réseaux et ceux de leurs clients des cybermenaces comme les logiciels malveillants, les rançongiciels, les virus, les botnets et l’hameçonnage.

Tandis que de nombreuses entreprises ont éprouvé des difficultés durant la pandémie, Titan HQ a décuplé ses forces et montré une croissance impressionnante. Grâce à l’investissement du groupe Livingbridge, la compagnie a pu investir davantage dans le développement de son produit et de ses employés : au cours des 18 derniers mois, leur nombre a doublé pour dépasser 90 personnes.

Les offres de TitanHQ ont été pensées de manière à être installées et utilisées facilement par les entreprises et, plus important encore, ces offres ont été créées de A à Z par des fournisseurs de services formés pour aider les petites et moyennes entreprises à mieux protéger leurs clients. Elles leur permettent aussi de gagner du temps en arrêtant le problème à la source. Elles sont parfaitement compatibles avec les systèmes existants, ce qui explique en partie pourquoi TitanHQ est aujourd’hui le leader du service de cybersécurité auprès des PME.

« Nous sommes ravis de figurer sur la même liste que quelques-uns des plus grands noms du domaine de la cybersécurité en Irlande », déclare le PDG de TitanHQ, Ronan Kavanagh. « Tandis que la menace continue à grandir et à cibler les organisations à travers le globe, nous nous engageons à continuer à innover pour fournir à nos clients une protection solide, sûre et fiable. »

Des cyber-pirates s’attaquent à des organisations gouvernementales et à des pôles d’enseignement

L’année 2021 a connu une explosion des attaques par rançongiciel et hameçonnage ; les cibles principales ont été les organisations gouvernementales et les pôles d’enseignement. La pandémie et les confinements ayant favorisé la cybercriminalité, ce sont les deux secteurs qui ont le plus souffert de la fuite des données. Les rapports ont révélé leur vulnérabilité, suggérant que les cyber-pirates pourront attaquer à nouveau pour dérober des donner et faire chanter les organisations en échange de millions de dollars.

Les cybercriminels piratent 58 000 comptes du « Department of Economic Opportunity » en Floride

Le « Department of Economic Opportunity » de Floride, abrégé « DEO » en Anglais, a subi l’une des pertes de données les plus importantes de l’année 2021 : entre avril et juin, ce sont 58 000 comptes qui ont été piratés, ce qui révèle qu’il faut parfois longtemps à une organisation pour se rendre compte qu’une cyber-attaque s’est produite. Verizon a rapporté que ce délai s’étend parfois jusqu’à six mois avant une détection et une action en réponse, ce qui laisse aux cybercriminels tout le temps nécessaire à l’exfiltration des données.

Le site CONNECT est le premier site pour l’emploi en Floride ; les cybercriminels ont pu accéder à des données très personnelles en le piratant. Le rapport mentionne ainsi le vol de numéros de sécurité sociale, de permis de conduire, de numéros de comptes bancaires, d’adresses personnelles, de numéros de téléphone et de dates de naissance. L’ampleur des dégâts est encore inconnue, mais il est évident que la fuite des données a commencé par un email frauduleux.

Le DEO a offert aux résidents victimes de ce piratage une protection antivol, mais cela ne couvre pas les frais engendrés par l’éradication de la menace, l’identification du point vulnérable, l’enquête déterminant l’importance des dommages et les procédures légales qui suivront nécessairement. Bien que le DEO ait subi de lourdes pertes financières à cause de cette fuite des données, les résidents victimes de ce piratage souffriront certainement bien plus longtemps des répercussions du vol de leurs données personnelles.

Dans la plupart des cas observés, les cybercriminels ne se servent pas des données volées pour faire chanter les victimes eux-mêmes : ils les revendent en effet à d’autres criminels, comme des usurpateurs d’identité ou encore des hackers, qui s’en servent pour pirater les comptes bancaires. La plupart des organisations frauduleuses gèrent un site commercial sur le Dark Web, ce qui leur permet de trouver des données personnelles revendues après piratage.

Les universités comme premières cibles

Les pôles d’enseignement ont été les premières cibles de la cybercriminalité, notamment les universités : les étudiants doivent en effet fournir de nombreuses données personnelles, comme leur numéro de sécurité sociale, leurs informations financières et leurs coordonnées. Les universités sont connues pour avoir une faible protection de cyber-sécurité, ce qui en fait des cibles de choix pour les cyber-pirates désireux d’obtenir des données sensibles le plus rapidement possible.

Le rançongiciel est la méthode la plus couramment employée contre les pôles d’enseignement. Un cyber-pirate peut créer une campagne d’hameçonnage sophistiquée installant un rançongiciel sur le système de l’université ; la plupart des pôles d’enseignement n’ont pas de système de sauvegarde suffisant, le budget nécessaire au stockage des données étant généralement trop important pour eux.

Une fois le rançongiciel implanté, l’étape suivante consiste à extorquer de l’argent à la victime. Les cybercriminels présument que les pôles d’enseignement ont des millions à dépenser en la matière ; c’est généralement ce qui se passe, les pôles d’enseignement n’ayant finalement pas d’autre choix, bien que les experts en cyber-sécurité encouragent les victimes à ne pas céder au chantage pour stopper la progression du piratage…

Ce que vous pouvez faire pour arrêter l’hameçonnage et les malwares

Les attaques par rançongiciels et autres logiciels malveillants commencent avec un mail. La meilleure solution pour stopper le cyber-piratage est l’installation d’un filtre d’email, capable de détecter les messages douteux, les liens frauduleux, les pièces jointes corrompues, l’hameçonnage et les autres menaces en les empêchant d’atteindre la boîte mail de leur destinataire. Pour les organisations, c’est la première étape d’une stratégie de défense en cyber-sécurité.

La protection en cyber-sécurité idéale utilise l’intelligence artificielle pour identifier les menaces au quotidien. Les cyber-pirates changent sans cesse de stratégie pour franchir les cyberdéfenses à la pointe de la technologie ; il faut donc que le filtrage des mails comprenne les menaces les plus récentes. Les administrateurs doivent pouvoir le configurer de manière à ce qu’il soit optimal.

L’avantage d’une protection par filtrage des mails est l’automatisation : plus besoin de compter sur une intervention humaine contre l’hameçonnage car la technologie le fait directement, ce qui réduit le risque d’erreur humaine. Sans une solide stratégie de cyber-sécurité, votre entreprise laisse une fenêtre grand ouverte aux cybercriminels, qui peuvent installer des logiciels malveillants sur votre réseau.

Une nouvelle hausse du vol des mots de passe – voici comment vous en protéger

Dernièrement, une nouvelle hausse du nombre de logiciels frauduleux (aussi appelés « malwares ») permettant le vol des mots de passe a poussé les analystes en cyber-sécurité à donner l’alerte, mettant les utilisateurs en garde contre l’usurpation d’identité, surtout pour les entreprises qui ne disposent pas des protections nécessaires. Les logiciels malveillants n’opèrent pas de la même manière que les menaces brutes : les utilisateurs infectés par ces malwares voleurs de mots de passe se feront pirater leurs nouveaux codes, même après les avoir changés. Les administrateurs peuvent prendre plusieurs mesures pour arrêter cela, mais il faut aussi que les utilisateurs sachent que les cybercriminels peuvent infiltrer leurs ordinateurs et voler leurs mots de passe en toute discrétion.

Les logiciels malveillants voleurs de mots de passe sont difficiles à éradiquer

Lors d’une attaque à la force brute, les tentatives d’identification automatiques sur une application finissent par trouver un compte vulnérable. En utilisant des listes de dictionnaires, les cybercriminels peuvent effectuer sans problème des milliers de tentatives de connexion sur des comptes, que le système ne détecte ni n’empêche. Les malwares, en revanche, opèrent directement sur l’ordinateur de l’utilisateur et peuvent se répandre sur le réseau pendant plusieurs mois sans être détectés.

Un logiciel malveillant opérant sur un ordinateur peut dérober n’importe quelle donnée entrée par l’utilisateur, que ce soit sur une page internet, sur un serveur d’entreprise ou encore un email. Dès que l’utilisateur entre l’information sur l’ordinateur, le malware la détecte et l’envoie sur le réseau que contrôle le cyber-pirate. Généralement, les malwares collectent les identifiants des comptes et les mots de passe associés, mais les keyloggers (ou les « espions de claviers ») enregistrent chaque frappe et les font remonter au cybercriminel, ainsi que le type d’application sur lequel l’utilisateur a utilisé le mot de passe.

Le vol de mot de passe n’est pas le seul danger provoqué par le malware : il peut aussi télécharger un rançongiciel, des rootkits, des virus et d’autres éléments malveillants automatiquement sur l’ordinateur infecté. Les malwares sophistiqués sont difficiles à détecter, et il faut parfois des mois aux administrateurs pour les identifier.

L’usurpation d’identité rend les entreprises vulnérables aux fuites de données

Les cybercriminels peuvent collecter des milliers d’identifiants utilisateurs avec leurs mots de passe grâce aux malwares, obtenant un accès au réseau de l’entreprise. Avec une liste d’identifiants, il leur est possible de lancer une attaque automatique de connexion sur votre réseau. Des tentatives en masse leur permettent de vérifier quels comptes sont actifs ; il leur suffit alors de les compromettre pour atteindre le réseau de votre entreprise et exfiltrer toutes les données qui les intéressent, directement depuis le système.

Sans la protection d’un solide système de cyber-sécurité, un hacker peut s’infiltrer dans n’importe quel système en réseau. La plupart des entreprises disposent d’une connexion à distance, hors de leurs murs, ce qui laisse également une ouverture aux cybercriminels.

N’importe quel système basé sur le Cloud peut subir une attaque cybercriminelle incluant le vol de ses mots de passe et l’usurpation d’identité. Une entreprise devrait toujours disposer d’une protection en cyber-sécurité capable de détecter les tentatives de connexion multiples et de les arrêter. Il y a également plusieurs méthodes permettant de se protéger contre les vols de mots de passe et l’hameçonnage.

Protéger les systèmes informatiques contre les malwares

La plupart des malwares voleurs de mots de passe sont composés de plusieurs éléments : tout d’abord, un processus d’installation, puis un processus permettant le vol des données depuis l’ordinateur de l’utilisateur. Une fois qu’il a collecté suffisamment de données, le malware les envoie sur un serveur contrôlé par le cyber-pirate, où elles sont accessibles à tous ceux qui s’y connectent.

Les antivirus sont absolument indispensables en cyber-sécurité, pour les ordinateurs personnels comme pour ceux des entreprises. Ils font partie des éléments requis pour la mise en conformité ; chaque entreprise devrait donc avoir un antivirus opérationnel, mis à jour à chaque fois que le développeur produit une amélioration, afin que chaque nouveau malware soit immédiatement détecté, avant qu’il n’infecte l’ordinateur.

Les filtres mails sont également nécessaires pour empêcher les malwares de s’installer sur un ordinateur via un mail. L’hameçonnage est la première des stratégies utilisées par les cybercriminels pour convaincre l’utilisateur d’installer leurs malwares sur son ordinateur. Les meilleurs filtres mails détectent les pièces jointes corrompues et les liens vers des sites internet frauduleux ; ils les mettent alors en quarantaine pour qu’ils soient examinés plus tard. Cette technologie arrête la plupart des tentatives de piratage par mail.

L’identification à double facteur n’empêche pas le malware d’infecter un ordinateur, mais elle permet d’éviter que le cybercriminel ne vole les identifiants après avoir compromis le système et volé des données. Les administrateurs peuvent alors mettre en place un système de connexion permettant la détection des tentatives de connexion multiples et des échecs répétés pour savoir si un utilisateur a été victime ou non d’une usurpation d’identité.

Rester vigilant : la meilleure défense contre les malwares

Qu’il s’agisse de malwares voleurs de mots de passe ou de logiciels malicieux voleurs de données, la meilleure défense reste la vigilance suivie d’action : équipez-vous d’un système de cyber-sécurité email empêchant les malwares d’atteindre vos boîtes de réception, incluant un antivirus et d’autres remparts de défense. Une fois qu’un malware s’est implanté dans un système, il peut être très difficile de s’en défaire. Rester vigilant vous permettra d’empêcher la plupart de ces malwares de compromettre votre entreprise et votre productivité.

De nouvelles variantes de rançongiciels attaquent les entreprises

Les attaques par rançongiciel ont connu une croissance exponentielle au cours de la dernière décennie ; les cyber-pirates se concentrent maintenant sur les entreprises et les compagnies industrielles pour obtenir un maximum d’argent de leurs méfaits. Les créateurs de logiciels malveillants ont produit plusieurs variantes de rançongiciels cette année, spécialement conçues pour s’en prendre à certains domaines industriels et à de grandes entreprises. La cybersécurité en a pâti, car de nombreux utilisateurs ont télé-travaillé en 2020, ce qui les a rendus plus sujets au piratage, les cybercriminels ayant travaillé sur de nombreuses variantes au cours de 2021. Le succès rencontré par ces logiciels pirates est tel qu’on peut être sûr que ces escrocs ne s’arrêteront pas de si tôt ! Il est dont primordial pour les entreprises de prendre connaissance des dernières variantes de rançongiciels, ce qui leur permettra de s’en protéger.

Pourquoi attaquer les entreprises et les sociétés commerciales ?

Les anciennes versions de rançongiciels ciblaient principalement les utilisateurs, individuellement. La victime ouvrait généralement un mail frauduleux avec une pièce jointe contenant un fichier corrompu ou un lien de téléchargement de malware. Le logiciel pirate lançait alors un scan de l’ordinateur, trouvait des images et des documents importants sur le disque dur, les cryptait et demandait ensuite une rançon pour que l’utilisateur obtienne la clef de décryptage et retrouve l’accès à ses propres fichiers. Les variantes de ces rançongiciels allaient jusqu’à verrouiller le système Windows, empêchant les utilisateurs d’accéder au moindre fichier.

Une fois que le rançongiciel avait crypté les éléments, la victime devait soit payer les cybercriminels, soit réinitialiser son ordinateur et réinstaller tous ses logiciels. Ce second cas de figure supposait que l’utilisateur perdait de fait tous ses documents importants ; voilà pourquoi la plupart des victimes choisissaient de payer la rançon. Malheureusement, céder au chantage du cyber-pirate ne garantit pas toujours le recouvrement de ses fichiers… Les escrocs, une fois l’argent reçu, peuvent choisir de ne pas donner la clef de décryptage à leurs victimes, qui ne récupèrent donc jamais leurs documents.

Les rançongiciels attaquant les utilisateurs individuellement collectent pour le cyber-pirate plusieurs centaines de dollars en Bitcoin, mais les entreprises ont beaucoup plus d’argent. Une grande compagnie peut ainsi payer des millions de dollars de rançon en cas de cyber-attaque, et de nombreuses variantes de rançongiciels demandent systématiquement un paiement à 7 chiffres. Il suffit alors d’une seule opération menée contre une entreprise à un cybercriminel pour obtenir un revenu très confortable avant de disparaître, contre plusieurs attaques sur des particuliers ne rapportant que quelques centaines de dollars.

Des attaques élaborées extorquent aussi une rançon contre des données volées

Ces dernières années, des variantes de rançongiciels extorquent de l’argent aux entreprises d’une nouvelle manière. Le chantage aux particuliers les menaçant de poster leurs données sur des réseaux sociaux n’est plus rentable ; en revanche, rendre publiques des gigabytes de données dérobées à de grandes entreprises peut causer de gros problèmes. C’est là que réside la menace des nouvelles variantes de rançongiciels, en cas de non-paiement de la rançon.

Par exemple, la variante du rançongiciel Conti permettra non seulement de crypter les données dérobées, mais aussi de faire du chantage aux entreprises ciblées pour une somme d’argent supplémentaire afin que ces données ne soient pas révélées publiquement. Récemment, à la suite d’une cyber-attaque, le gouvernement écossais a vu 1,2 gigabytes de données sensibles exposées après son refus de payer la rançon exigée.

Les cybercriminels les plus habiles utilisent la variante du rançongiciel Egregor pour cibler spécifiquement les enseignes industrielles et les secteurs spécialisés dans le service : récemment, ils s’en sont pris au géant libraire Barnes and Nobles, les attaquant par hameçonnage, et il a suffi qu’une seule victime se laisse duper pour obtenir l’accès au paiement en réseau de l’entreprise. Le rançongiciel Egregor a remplacé le rançongiciel Maze après que de nouveaux correctifs et mises à jour de sécurité ont bloqué les attaques compromettantes de Maze sur les réseaux internes.

ZDNet rapporte que 80% des variantes de rançongiciels se basent sur les systèmes de Maze, Sodinokibi, Conti, and Netwalker. Ces variantes concentrent leurs attaques sur les compagnies versant des sommes importantes le jour de paie, permettant aux cybercriminels de voler des millions en une seule attaque savamment planifiée. Les rançongiciels plus anciens comme DoppelPayer ont quasiment disparu, remplacés par les dernières variantes capables d’attaquer les entreprises comportant des térabytes de données à exfiltrer.

Ce que vous pouvez faire pour protéger votre entreprise

La plupart des attaques par rançongiciels commencent avec un mail hameçon. La meilleure défense consiste donc à protéger votre messagerie. Si votre serveur d’emails filtre les mails frauduleux, les risques seront largement réduits. Ce filtrage est bien plus efficace que la formation à la cybersécurité de vos employés ; cette formation ajouterait un niveau de protection supplémentaire, mais elle n’arrêtera pas les cyber-attaques avancées qui comportent des éléments de manipulation psychologique.

Les logiciels de filtrage des emails analysent le contenu du message, détectent les liens frauduleux et les pièces jointes nocives. Ils mettent en quarantaine les messages qui ne sont pas conformes aux conditions de validation. Ce sont alors les administrateurs qui vérifient ces messages suspects pour observer les tentatives d’attaques et valider manuellement les faux-positifs, transférés ensuite dans les boîtes mails de leurs destinataires respectifs.

La formation des employés est toujours un plus, mais elle ne peut pas suffire à bloquer l’hameçonnage et à contrer les rançongiciels. Vous aurez besoin d’un solide système de cybersécurité pour votre messagerie.

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Un nombre surprenant de cyber-failles décelées sur les équipements publics

La connexion sans fil est aujourd’hui omniprésente. On se connecte en Wi-Fi tous les jours sur différents points, que l’on croit sûrs et fiables. En vérité, ils ne le sont pas, comme le révèle une récente étude menée par une équipe de chercheurs en cyber-sécurité du magazine informatique allemand CHIP : ils ont trouvé, au total, 226 cyber-failles potentielles dans 9 des routeurs Wi-Fi les plus populaires du moment. La liste des appareils inclut Netgear Nighthawk AX12, Asus ROG Rapture GT-AX11000, Edimax BR-6473AX, Linksys Velop MR9600, AVM FritzBox 7530 AX et AVM FritzBox 7590 AX. En haut de la liste se trouvait TP-Link Archer AX6000 avec 32 failles, suivi de Synology RT-2600ac qui en comporte 30. Un membre du groupe de chercheurs a déclaré : « cette étude a malheureusement dépassé de très loin tout ce que nous imaginions ; c’est une vraie déception quant à la sécurité que nous pensions avoir à la maison et sur les routeurs des petites entreprises ».

L’obsolescence des logiciels est la première cause du phénomène

Il n’est pas surprenant que la première explication du problème réside dans l’ancienneté des logiciels, dépassés : la plupart des machines fonctionnaient avec une version obsolète du noyau Linux. Il y avait aussi quelques ajouts, comme un VPN et un streaming multimédia opérant sur logiciel daté. Plusieurs équipements s’appuyaient trop sur d’anciennes versions de BusyBox combinant plusieurs petites versions de services UNIX rassemblées en un seul programme exécutable. Pour être honnête, le groupe a précisé que si l’on se base sur le prix initial des équipements, le coût engendré par l’intégration d’un nouveau noyau dans le microprogramme (le firmware) des machines ne serait pas rentable. L’équipe de chercheurs a également analysé les versions du microprogramme sur plus de 5000 cyber-failles et divers autres cyber-problèmes. Si les équipements sont effectivement vulnérables face à ces cyber-failles, la plupart d’entre elles sont de moindre importance ; une infime minorité d’entre elles présentent une menace critique.

La responsabilité de l’utilisateur

La plupart des routeurs sans fil réalise sa mise à jour automatiquement pour la dernière version en date. Il en est de même pour le microprogramme, pourvu que l’utilisateur active cette fonction. Voilà pourquoi il est essentiel pour les utilisateurs de vérifier leurs routeurs régulièrement et de les mettre à jour. Trop souvent, les utilisateurs déploient ces routeurs et les oublient. Mais l’expression « loin des yeux, loin du cœur » ne devrait pas s’appliquer à la technologie ! Il est essentiel que les utilisateurs configurent les mises à jour automatiques dès le déploiement, quand c’est possible. Certains routeurs doivent toutefois être mis à jour manuellement. Cela suppose le téléchargement de la dernière version depuis le site du créateur et la mise à jour par ordinateur. Certains utilisateurs sont intimités par ce processus, tandis que d’autres le remettent simplement à plus tard, indéfiniment. Si les mises à jour des routeurs réseau ne sortent pas régulièrement, appliquer un correctif à un routeur sans fil devrait être aussi urgent que ça l’est pour un ordinateur équipé de Windows 10.

Les fournisseurs réagissent à ce constat

L’équipe de chercheurs a informé les fournisseurs des résultats de leur étude et chacun a entrepris de remédier aux cyber-problèmes. Asus les a pour sa part tous résolus et a corrigé la version obsolète de BusyBox, ainsi que quelques logiciels associés. D-Link, Edimax et Linksys ont sorti des mises à jour pour microprogrammes afin de parer au problème. Netgear a lui aussi donné une mise à jour visant à résoudre les menaces critiques, tandis que Synology a publié une importante mise à jour pour le noyau Linux. Ils ont aussi mis à jour BusyBox et PHP. TP-Link a de son côté choisi de s’attaquer aux cyber-failles critiques et s’est engagé à fournir prochainement une solution pour 50 problèmes sur le système.

Changer de mot de passe par défaut

L’une des menaces les plus importantes révélées par l’enquête est l’utilisation d’un mot de passe d’administration aussi simple que « admin ». Si un tel mot de passe peut sembler ridicule, les identifiants par défaut des équipements sont faciles à trouver sur internet ; en conséquence, le mot de passe par défaut est lui aussi très facile à trouver. Si l’obsolescence des logiciels est évidemment un problème, l’utilisation d’un mot de passe très faible est une faille plus grave encore pour les routeurs sans fil. Il est essentiel que les utilisateurs changent de mot de passe d’administration pour un code complexe dès la première utilisation de l’appareil. Sans cela, des imposteurs peuvent se connecter à votre routeur sans fil et en prendre le contrôle. De nombreux ordinateurs demandent aujourd’hui à l’utilisateur de créer un mot de passe dès la première utilisation.

Conclusion

Finalement, les routeurs sans fil sont comme les autres appareils en réseau et les ordinateurs : ils ont besoin d’être régulièrement mis à jour pour combler leurs lacunes et éviter qu’elles ne soient exploitées par des attaques pirates. C’est encore une fois l’absence d’un mot de passe robuste qui permet aux cybercriminels de prendre le contrôle des appareils. Si les fournisseurs doivent faire davantage d’efforts pour concevoir des équipements en gardant la cyber-sécurité à l’esprit, l’utilisateur doit lui aussi prendre ses responsabilités : la sécurité est l’affaire de tous.

Vous risquez des sanctions pénales si vous payer la rançon demandée par les cybercriminels

Les cyber-attaques par rançongiciel peuvent vous coûter plus qu’une simple perte financière : vous encourrez des poursuites judiciaires, si vous payez.

Les confinements de 2020 et 2021 ont provoqué la hausse des cyber-attaques, en particulier celles menées par rançongiciel et par hameçonnage. Tandis que de plus en plus de gens télé-travaillent et espèrent davantage de revenus, les cybercriminels gagnent des millions, car c’est en moyenne une victime sur quatre qui paie la rançon exigée. Leurs attaques visent les entreprises et les institutions gouvernementales. En conséquence, l’organisme de contrôle financier des États-Unis appelé « Department of the Treasury’s Office of Foreign Assets Control », ou « OFAC », a publié un communiqué visant à prévenir les utilisateurs informatiques que des sanctions sont prévues s’ils venaient à céder aux cyber-menaces ou à payer les rançons exigées.

Rançongiciel et Hameçonnage

Avec la hausse du nombre de leurs employés en télétravail, les entreprises sont dorénavant obligées de leur fournir un accès à distance au système interne et aux ressources en réseau si elles veulent rester productives. Si c’est déjà une formalité pour les grands groupes, cela représente toutefois un défi pour les petites entreprises qui doivent trouver un système à la fois suffisamment simple pour les recrues et suffisamment sécurisé pour parer les cyberattaques. Les cybercriminels sont en effet très bien informés : ils savent pertinemment que la plupart des employés en télétravail n’ont pas de cyberdéfense capable de les protéger contre les rançongiciels et l’hameçonnage, de plus en plus sophistiqués. Ils ont donc vu là une opportunité aisée et lucrative de compromettre les ordinateurs dans les foyers.

Les attaques par rançongiciel et par hameçonnage font des ravages ; il faut toutefois noter que les rançongiciels commencent leur offensive par hameçonnage. Il peut s’agir d’une attaque ciblée (on parle alors d’harponnage), ou d’attaque au hasard d’un employé lambda après une phase de reconnaissance. Cette phase de la cyber-attaque consiste à consulter les réseaux sociaux et LinkedIn pour identifier les meilleures cibles. Une fois que les cybercriminels ont choisi leur proie et examiné le type d’entreprise dont il est question, ils envoient un mail frauduleux avec un logiciel malveillant en pièce jointe. Une alternative consiste à envoyer un message contenant un lien vers un serveur hébergeant le logiciel malveillant.

Ce qui rend le rançongiciel particulièrement dangereux ? Le fait que l’on ne peut pas l’éradiquer de l’ordinateur sans sauvegarde ; malheureusement, le rançongiciel scanne le réseau à la recherche de fichiers vulnérables et les crypte. La seule façon de récupérer ces fichiers pour une cible qui n’a pas de sauvegarde consiste à payer la rançon. Mais en payant la rançon, l’OFAC affirme que les victimes facilitent et encouragent la cybercriminalité.

La réponse de de l’OFAC aux cyber-incidents et les sanctions prévues

Le nouveau communiqué de l’OFAC a compliqué la tâche pour le service client : parfois, la seule option consiste à essayer de payer la rançon, mais le logiciel accroit la somme due si elle n’est pas réglée dans un court délai. Les cybercriminels fixent délibérément une rançon de quelques milliers de dollars, ce qui reste dans les moyens des individus et des entreprises, les incitant à payer plutôt que de prendre le risque de tout perdre, faute de sauvegardes.

Toutefois, cette action est désormais passible de sanctions décidées par l’OFAC, et le service client peut alors se retrouver en contradiction avec la législation. Et pour rendre le problème plus complexe encore, le gouvernement oblige les entreprises à enregistrer le nom de leurs partenaires en transactions, alors que les cybercriminels font tout pour cacher leur identité. Les rançongiciels intègrent pour cela une fausse adresse mail dirigeant le paiement vers un portefeuille de crypto-monnaie. Ces deux seuls éléments ne permettent pas d’identifier un cyber-pirate. Les adresses liées au Bitcoin ne sont pas anonymes, mais les cybercriminels « blanchissent » la crypto-monnaie pour éviter d’être tracés et retrouvés.

On demande aux victimes des rançongiciels d’alerter les forces de l’ordre, mais porter plainte peut engendrer trop de frais pour les individus. Pour les entreprises, collecter les preuves d’un vol de données impacte négativement la productivité, si l’employé visé ne dispose que d’un seul ordinateur pour travailler. Pour une entreprise de taille moyenne, formater l’ordinateur et le restaurer d’après une sauvegarde est une solution à moindre coût face à la préservation des preuves nécessaires à un recours en justice.

La meilleure défense consiste en une stratégie anti-hameçonnage et anti-rançongiciel dynamique

L’attaque la plus commune en matière de rançongiciel cible des victimes qui reçoivent plusieurs mails frauduleux. Pour stopper cet hameçonnage de masse, les entreprises ont besoin d’une stratégie anti-hameçonnage avec un filtre de serveurs d’emails et une mise en quarantaine. Les filtres d’emails sont capables d’identifier les pièces jointes corrompues ainsi que les liens suspects et de les mettre en quarantaine dans un lieu sûr. Les administrateurs peuvent ensuite vérifier eux-mêmes les messages et procéder à leur envoi vers le destinataire souhaité ou les supprimer définitivement.

Une autre stratégie de défense répandue consiste à former les utilisateurs pour les aider à identifier les messages frauduleux, en particulier les personnes ayant accès à des comptes en réseau de postes à haute responsabilité. Toutefois, cette méthode requiert encore une interaction entre l’homme et l’ordinateur, ce qui suppose l’erreur humaine potentielle. Avec le filtrage mail, les messages frauduleux n’atteignent jamais la boîte mail de l’employé, ce qui diminue largement le taux de risque. En cas de faux positif, les administrateurs peuvent valider manuellement le message et modifier les réglages pour mieux cerner la menace.

Les compagnies ne peuvent pas obtenir un service de protection du réseau à 100%, mais elles peuvent mettre en place une défense réduisant considérablement la menace. En 2021, les rançongiciels provoqueront l’augmentation des frais à toutes les échelles, y compris celle du service client. En ajoutant un filtre email à des serveurs standards déjà en œuvre, les administrateurs et les équipes chargées de la cyber-sécurité pourront protéger l’entreprise de l’une des plus grandes menaces visant la continuité des opérations et l’intégrité des données.

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La Plateforme Telegram piratée et détournée pour distribuer un logiciel malveillant

 

Telegram est une application de messagerie largement popularisée au cours de ces derniers mois, de nombreux utilisateurs de WhatsApp ayant opté pour un changement de moyen de communication après d’importantes modifications dans les conditions de sa politique de confidentialité et de gestion des données personnelles.

Telegram est malheureusement très populaire aussi auprès des cybercriminels qui l’utilisent pour distribuer et communiquer via des logiciels malveillants. Récemment, une campagne pirate a été détectée : elle impliquait un nouveau malware, une variante de ToxicEye. Le logiciel malveillant TocixEye est un Cheval de Troie opérant à distance (un RAT) qui donne au cybercriminel le contrôle total de l’appareil qu’il infecte. Sa fonction principale consiste à voler des données personnelles et télécharger d’autres variantes de malwares.

Le logiciel malveillant passe par un compte Telegram pour prendre le contrôle du serveur de communication. Par ce biais, il est capable d’atteindre un ordinateur piraté par ToxicEye, d’en exfiltrer les données et de produire d’autres effets dévastateurs.

Il est facile de voir en quoi l’utilisation de Telegram intéresse les cyber-pirates spécialisés en outils de communication : tout d’abord, l’application est populaire. En janvier 2021, ce sont plus de 63 millions de personnes qui l’ont téléchargée, rejoignant les 500 millions d’utilisateurs déjà actifs dans le monde entier. Pendant la pandémie, de nombreuses entreprises ont choisi d’utiliser cette application pour permettre à leurs employés de communiquer et de collaborer de manière sécurisée sur une messagerie privée. Telegram promet en effet la confidentialité des données et les entreprises ne bloquent pas son contenu, ni ne surveillent les échanges qui s’y passent.

Créer un compte Telegram est facile, et les cybercriminels peuvent rester anonymes. Il leur suffit de renseigner un numéro de téléphone pour obtenir un accès, et le système de communication leur permet d’exfiltrer les données très simplement, tout en envoyant des logiciels malveillants sur les appareils ciblés sans qu’ils puissent être détectés.

Les cybercriminels utilisent Telegram pour répandre les malwares. Une fois leur compte sur cette plateforme créé, il leur est possible d’interagir avec les autres utilisateurs et de leur envoyer des fichiers corrompus, ainsi que d’atteindre les personnes liées, même si elles n’utilisent pas Telegram, via des mails hameçons contenant des virus et d’autres programmes malveillants. C’est par hameçonnage que ToxicEye est livré aux victimes de cybercriminalité : les mails sont envoyés avec une pièce jointe au format .exe. Une campagne utilisait notamment un fichier intitulé « paypal checker by saint.exe » pour implanter ce logiciel frauduleux.

Une fois lancé et installé, ce malware créera une connexion entre le compte Telegram de la victime et le bot du cyber-pirate, qui pourra alors lancer de nombreuses attaques informatiques par le biais du logiciel frauduleux implanté. L’un des premiers objectifs de ces pirates est l’obtention de données personnelles, le vol de mots de passe et les informations des cookies et de l’historique de l’utilisateur ciblé.

Le logiciel malveillant ToxicEye est capable de suspendre l’activité informatique de l’ordinateur, de prendre le contrôle du gestionnaire des tâches, d’enregistrer des fichiers audio et vidéo, de voler le contenu du presse-papier et de déployer d’autres variantes de malwares, comme les keyloggers (les enregistreurs de frappe du clavier) et les rançongiciels.

TitanHQ dispose de deux solutions face aux problèmes posés par ToxicEye et les autres campagnes cyber-pirates lancées depuis Telegram : SpamTitan et WebTitan. SpamTitan est une puissante offre de sécurisation des mails capable de bloquer les mails frauduleux livrant les fichiers corrompus responsables de l’installation de ToxicEye et des autres malwares. Pour plus de protection, SpamTitan peut être combiné avec le système de sécurité WebTitan, un filtrage internet basé sur le DNS que l’on peut configurer pour bloquer l’accès à Telegram s’il n’est pas en service et pour réguler le trafic en temps réel, ce qui permet d’identifier les communications potentiellement malveillantes.

Pour plus d’information sur ces deux offres, les détails des prix et pour commencer votre essai gratuit, contactez TitanHQ dès aujourd’hui.

Le Cheval de Troie spécialisé dans le secteur bancaire ZLoader se répand sur internet à travers une campagne cybercriminelle en désactivant les alertes aux macros de Microsoft Office

 

L’hameçonnage est l’un des moyens les plus répandus de l’implantation des logiciels pirates. Ces mails frauduleux nécessitent généralement une action de la part de l’utilisateur pour activer leur contenu corrompu, comme un clic sur un lien écrit dans le texte ou un document Microsoft office attaché en pièce jointe. Les fichiers Word et Excel sont souvent utilisés pour implanter les rançongiciels, avec des macros programmées pour le vol de données.

Les macros sont des dangers en puissance, car elles sont capables de renfermer des codes frauduleux ; elles sont ainsi désactivées par défaut et ne fonctionneront que si elles sont lancées manuellement par l’utilisateur. Quand un document Office est ouvert, un message d’alerte apparaîtra pour signifier la présence d’une macro et signifier à l’utilisateur son caractère potentiellement dangereux. Si la macro n’est pas autorisée manuellement par l’utilisateur, le logiciel malveillant associé ne peut pas être téléchargé.

Une campagne d’hameçonnage a récemment été détectée ; c’était une campagne typique d’implantation de logiciel pirate, comme on en voit régulièrement. L’attaque initiale fut menée via des mails frauduleux ayant en pièces jointes des documents Office contenant des macros invitant l’utilisateur à télécharger un malware : dans le cas présent, ZLoader. Toutefois, une nouvelle méthode se répand aujourd’hui pour faire circuler des fichiers Office corrompus capables de désactiver les alertes informatiques aux macros et la protection automatique associée.

Dans cette campagne pirate, les éléments corrompus du rançongiciel ZLoader sont délivrés par mail, mais le corps du message ne contient pas de code malicieux ; c’est par une pièce jointe au format Microsoft Word que le piège se déclenche, initiant le téléchargement d’une feuille de calcul Excel protégée par un mot de passe depuis le serveur du cybercriminel permettant l’ouverture du fichier pirate et la mise en action de la macro.

Cette cyber-attaque s’appuie sur les éléments VBA et DDE de Microsoft Excel afin de corrompre les systèmes supportant les fichiers au format XLS.

Une fois que le fichier crypté Excel est téléchargé, le logiciel formaté VBA de Word lit les informations inscrites spécifiquement dans le document XLS. Le VBS de Word transforme ensuite le contenu des cellules au format VBA XLS afin de créer une nouvelle macro pour le fichier XLS. Une fois cela fait, le système de défense contre les macros d’Excel se trouve désactivé par le document Word qui l’a inscrit dans le registre des éléments autorisés par le programme pour désactiver les alertes de sécurité anti-macro d’Excel. Le VBA d’Excel autorise alors le téléchargement des fichiers corrompus de ZLoader, exécutés ensuite en utilisant rundll32.exe.

Bien que les fichiers corrompus soient téléchargés et installés à l’insu de l’utilisateur, cette attaque requiert quand même que sa victime autorise les macros dans le document Word initial. C’est très simple : il suffit de l’inviter à le faire en lui disant, par exemple, « ce document fut créé dans une version antérieure de Microsoft Word Office. Pour consulter ou éditer ce document, veuillez cliquer sur ‘‘autoriser le contenu’’ » à l’ouverture du document Word. Un simple clic sur cette invitation permettra l’activation de tout le processus d’infection du système.

ZLoader est une variante du tristement célèbre Cheval de Troie Zeus, apparu pour la première fois en 2006. Ce logiciel malveillant est aussi connu sous le nom de « ZBot » ou encore « Silent Night ». De nombreux cybercriminels l’utilisent : ce fut le cas pour de nombreuses campagnes de cyber-fraudes en 2020, prétextant des réductions sur des services de protection contre la Covid-19 ou des leurres encore plus répandus comme des offres d’emploi.

Une fois installé, le logiciel malveillant utilise divers modules pour voler les mots de passe de l’utilisateur, ses identifiants et même les informations des cookies de ses navigateurs ! Lorsque l’utilisateur se connecte à sa banque en ligne et accède à ses comptes sur un ordinateur infecté, les informations bancaires et toutes les données personnelles sont volées et exfiltrées sur le serveur C2 du cyber-pirate.

Afin de renforcer vos défenses contre les logiciels malveillants et l’hameçonnage, contactez l’équipe de TitanHQ dès aujourd’hui afin de vous renseigner sur les offres de sécurité email SpamTitan et de sécurité internet WebTitan. Ces deux offres peuvent être téléchargées et installées simultanément sur votre système pour vous protéger contre une foule de menaces informatiques en moins d’une heure. Vous disposerez d’un essai gratuit sans engagement de 14 jours vous permettant d’évaluer le service proposé, sa simplicité d’utilisation et son efficacité en matière de blocage des dangers numériques avant d’opter pour son achat.

TitanHQ dynamise son installation aux États-Unis par le recrutement stratégique de 12 profils hautement qualifiés

 

Peu après la nomination de Jeff Benedetti au poste de directeur commercial, TitanHQ a choisi de dynamiser son installation aux États-Unis par le recrutement stratégique de 12 personnes au profil hautement qualifié pour travailler sur les marchés nord-américains des fournisseurs de services, aux États-Unis et au Canada. Ces nouvelles recrues apportent leur solide expérience des marchés acquise en travaillant auparavant chez Datto, Skout Cybersecurity, Barracuda et Agile Blue. La nouvelle équipe nord-américaine a démarré en force dans ses locaux basés à Shelton, dans le Connecticut. Elle comprend :

Eric Morano, Directeur du Développement :

Avec 15 ans d’expérience dans le domaine de la direction du département commercial et de la gestion de Datto, Skout Cybersecurity (BarracudaMSP), AgileBlue XDR, CDW, et Verizon, Eric Morano s’occupe désormais de l’optimisation de la croissance et de la recherche des partenaires de TitanHQ.

Craig Somma, Responsable de la Clientèle :

25 ans d’expérience dans le domaine du marché technologique et directeur de la stratégie marketing pour Tech Dept, Micro Warehouse et Gov Connection.

Joseph Rende, Responsable de la Clientèle :

Plus de 10 ans d’expérience dans le service des ventes de Gartner et Datto.

Pat DeAngelis, Responsable de la Clientèle :

Plus de 10 ans d’expérience en tant que fournisseur de services technologiques auprès de Datto, Threatlocker et Armor Cybersecurity.

Jeff Brown, Responsable de la Clientèle :

Plus de 10 ans d’expérience dans le département des ventes pour Datto, SKOUT Cybersecurity et Agile Blue.

Alex De Los Santos, Directeur Comptable :

8 ans d’expérience au département commercial de Datto et EDP.

Alex Nankervis, Directeur Comptable :

8 ans d’expérience au département commercial de Datto et Indeed.

Kyle Leyerzapf, Directeur Comptable :

5 ans d’expérience au département commercial de Datto.

Marc Bonnaci, Chargé du Développement Commercial :

7 ans d’expérience dans le département des ventes, ayant récemment travaillé pour Agile Blue.

Patrick Barry, Directeur Comptable :

6 ans d’expérience au service commercial et au service comptable de Accu-Tech Corporation et de Maxim Healthcare.

Jamal Ibrahim, Directeur Comptable :

4 ans d’expérience de direction comptable pour Altium et RCG.

C’est Jeff Benedetti, nommé comme chef d’équipe, qui supervisera le travail du groupe. Ce nouveau recrutement fait suite à trois mois d’activité et d’intense productivité pour TitanHQ dont on retiendra principalement :

  1. En décembre : le lancement de SpamTitan Plus Anti-Hameçonnage

SpamTitan Plus offre une large gamme de service d’intelligence artificielle de prévention contre l’hameçonnage avec le tout nouvel élément de protection technologique palliant la « vulnérabilité du jour zéro » : la couverture proposée est désormais supérieure à celle des autres tenants du marché actuel, avec de remarquables améliorations en ce qui concerne la détection des liens hameçons et sa rapidité d’exécution. Le produit a été accueilli avec beaucoup d’enthousiasme sur le marché ; il offre à ses clients une capacité de détection des mails frauduleux 1,5 fois supérieure à celle de ses concurrents.

  1. En janvier : la nomination de Jeff Benedetti au poste de directeur commercial du marché nord-américain

Jeff Benedetti, un vétéran dans le domaine de la gestion des équipes, a rejoint TitanHQ à la tête du marché nord-américain pour diriger le département commercial et la stratégie de mise sur le marché de l’offre proposée par TitanHQ, qui souhaite élargir sa présence sur le continent. Son équipe lancera d’ailleurs un tout nouveau programme de partenariat pour TitanHQ en avril.

Jeff Benedetti rejoint TitanHQ avec plus de 20 ans d’expérience fructueuse dans la vente et la direction de mises sur le marché de produits technologiques spécialisés en cyber-sécurité. Dernièrement, il était responsable des ventes et du marketing chez SKOUT Cybersecurity, racheté par Barracuda Networks durant l’été 2021. Jeff Benedetti était le directeur des ventes aux États-Unis chez Datto où il était chargé de l’accroissement du partenariat et du développement, permettant à la compagnie d’acquérir un statut inégalé dans son domaine jusqu’à son rachat par Vista Private Equity en 2017. Il avait aussi, par le passé, tenu un rôle majeur comme directeur chez Apple Inc et Tech Depot.

  1. Un nouveau record de croissance établi en janvier et février 2022

TitanHQ continue sa croissance exponentielle en franchissant une nouvelle étape en janvier et en février avec le meilleur revenu jamais enregistré au cours de ses 20 années d’existence et de nouveaux partenaires fournisseurs de services. Sa plateforme de cyber-sécurité SAAS, la meilleure du marché, offre une protection multi-niveaux palliant la vulnérabilité de l’utilisateur ; elle plait largement à la communauté des fournisseurs de services, avec plus de 2 200 membres l’utilisant au quotidien.

  1. En février : l’acquisition de Cyber Risk Aware et le lancement de SafeTitan

TitanHQ a finalisé le rachat de Cyber Risk Aware et lancé son programme de sensibilisation à la cyber-sécurité SafeTitan. Créé en 2016, Cyber Risk Aware, le leader en matière de formation à la sécurité informatique, aide les entreprises à préparer leurs employés à contrer les menaces rencontrées sur internet.

Cyber Risk Aware permet un entraînement des employés en temps réel à la cyber-sécurité adapté à leur comportement type. Cette fonction, renforcée par un système d’intelligence artificiel intuitif, réduit les chances de voir les utilisateurs se faire piéger par les cyber-menaces actuelles que constituent les logiciels malveillants, les attaques de réseau et les fuites de données, tout en permettant aux entreprises de se conformer aux normes légales en vigueur. Parmi les grandes entreprises qui font confiance à Cyber Risk Aware, on retrouve Standard Charter, Glen Dimplex et Invesco.

Cette acquisition renforcera l’offre en cyber-sécurité déjà très large que propose TitanHQ : la combinaison d’un système intelligent de sensibilisation à la sécurité incluant une fonction de simulation d’hameçonnage et de la protection des mails avec sécurité DNS créée par TitanHQ produit une plateforme sécurisée sur de multiples niveaux optimale pour les utilisateurs. C’est la solution ultime à adopter en matière de cyber-sécurité, idéale pour les fournisseurs de services technologiques et les départements informatiques internes en entreprise.

La demande du produit SafeTitan a été exponentielle auprès des fournisseurs de services technologiques et des départements informatiques des entreprises à travers le monde.

SpamTitan Plus : Une protection avancée contre les menaces de l’hameçonnage

 

L’équipe de TitanHQ est fière de vous annoncer le lancement d’une nouvelle offre de protection pour les entreprises contre la menace grandissante d’un hameçonnage de plus en plus sophistiqué. SpamTitan Plus s’appuie sur le grand succès rencontré par SpamTitan Gateway et SpamTitan Cloud, qui ont satisfait plus de 12 000 clients et plus de 3 000 fournisseurs de services à travers le monde.

Les offres SpamTitan comportent une protection avancée contre l’hameçonnage, les logiciels malveillants, les virus, les attaques de réseau et les rançongiciels opérant par mails frauduleux, dont des tests indépendants ont confirmé le taux de haute détection et la fiabilité avec un taux d’échec minimal. SpamTitan Plus pousse le niveau de protection à l’échelle supérieure avec une couche de sécurisation supplémentaire, un grade avancé dans la détection des liens hameçons et sa rapidité, ainsi qu’un taux d’échec encore plus faible.

Des tests effectués par des firmes indépendantes ont confirmé que SpamTitan Plus :

  • Couvre 100% des besoins informatiques nécessaires à lutter contre les menaces d’hameçonnage les plus puissantes connues à ce jour,
  • Présente un taux 1,5 fois supérieur en matière de détection d’URL d’hameçonnage,
  • Est 1,6 fois plus rapide dans la détection de l’hameçonnage que ses concurrents,
  • Enregistre 10 millions de nouvelles URL d’hameçonnage jamais encore identifiées chaque jour,
  • N’a besoin que de 5 minutes à partir de la détection de l’URL malicieuse pour enclencher la protection des boîtes mail des utilisateurs.

Les avantages de SpamTitan Plus :

D’après Deloitte, 91% des cyber-attaques commencent par un mail hameçon, et malgré les nombreuses dispositions adoptées par les entreprises pour former leurs employés à la cyber-sécurité, la plupart d’entre eux échouent encore largement à identifier des mails frauduleux. Le département de la sécurité rapporte un taux d’échec de 97% parmi les employés. Si l’on ajoute à cela la menace grandissante de la sophistication des tactiques utilisées par les cybercriminels pour échapper à la détection des programmes de protection contre les mails frauduleux et les pièges qu’ils conçoivent pour duper les utilisateurs, il n’est pas étonnant que l’hameçonnage soit la plus importante des menaces que doivent affronter les entreprises.

SpamTitan Plus renforce les défenses contre l’hameçonnage des pirates en bloquant davantage de menaces avant qu’elles ne puissent atteindre les boîtes mails de leurs victimes et garantit que si un mail hameçon contenant un lien frauduleux arrive dans une boîte mail, la protection s’enclenche dès que l’employé clique sur le dit-lien.

SpamTitan Plus fournit une protection à la pointe de la technologie grâce à un système se basant sur l’intelligence artificielle et une mise à jour quotidienne des menaces répertoriées. De grandes améliorations ont été pensées pour protéger les entreprises contre les attaques par mails frauduleux et neutraliser leur contenu : tous les liens présents dans les mails sont réécrits et inspectés pour s’assurer qu’ils sont sûrs et que les utilisateurs sont protégés dès l’instant qu’ils effectuent un clic. Cela signifie que dès lors, le contenu de la page ouverte en suivant le lien est inspecté pour détecter la moindre forme de piratage et de fraude, comme la création d’une page internet factice. La redirection est largement employée par les cybercriminels afin d’induire en erreur le système de sécurité de l’ordinateur qui ne vérifie que l’URL écrite dans le corps du mail. SpamTitan Plus répond à ce problème en analysant également les redirections.

De multiples vérifications dynamiques sont effectuées en temps réel sur les URL, avec un système de protection du clic instantané assurant que les liens inclus dans les mails, si inoffensifs qu’ils puissent paraître, sont bien détectés comme frauduleux si l’URL est répertoriée a posteriori. Par exemple, les mails hameçons peuvent être envoyés le vendredi avec un lien inoffensif pour passer la détection et durant le weekend, le lien sera changé pour rediriger l’utilisateur sur un contenu frauduleux, prêt à piéger les employés dès le lundi suivant à la reprise du travail.

SpamTitan Plus bénéficie de la base de données d’un trafic massif de clics, avec plus de 600 millions d’utilisateurs et de paramètres « end points » lui permettant de générer 10 millions de cyber-menaces et d’URL frauduleuses jamais encore détectées en une journée. Ces adjonctions d’URL éphémères sont propulsées par plusieurs centaines de milliards de requêtes locales et cent millions de requêtes cloud quotidiennes à l’intérieur de SpamTitan Plus. Le résultat ? Une détection plus rapide pour une meilleure protection, avec le taux d’erreur le plus bas parmi tous les fournisseurs d’offres de cyber-sécurité contre l’hameçonnage.

Si vous êtes chef d’entreprise ou fournisseur de services en quête d’amélioration de protection contre l’hameçonnage pour vos clients, contactez l’équipe TitanHQ pour plus de renseignements à propos de SpamTitan Plus et découvrez comment le logiciel peut renforcer vos défenses contre les cyber-menaces actuelles.